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Véhicules autonomes

1 Nov 18
Daniel Costantino

Notre brochure explique quelles sont les conditions-cadre nécessaires afin que ces nouveaux moyens de transport soient utiles pour la société.
Vous trouverez des informations plus détaillées dans ce document ainsi que des réponses aux questions les plus fréquemment posées dans le Q&A ci-joint.

2050 : un regard d’anticipation sur la mobilité 

Les véhicules motorisés privés ont quasiment disparu des routes depuis quelques années. Les personnes ayant besoin d’une voiture commandent par un simple clic un véhicule autonome, qui les dépose à destination. Cette offre complète les transports en commun traditionnels et fonctionne de manière tellement simple que la population les qualifie affectueusement de « spontanés ». Comme ces véhicules connaissent une forte demande et qu’ils transportent en règle générale plus d’une personne à la fois, le nombre de voitures dans les rues a fortement diminué par rapport à autrefois. Il en va de même pour les places de stationnement. L’automatisation de la mobilité a conduit à un fort recul du besoin en espace pour les voitures, de sorte qu’aucune extension des infrastructures de transport ne s’est avérée nécessaire durant toutes les dernières décennies. Grâce à une utilisation moins gourmande en espace, les quartiers en ville ont pu être végétalisés et les piéton.ne.s et les cyclistes disposent de davantage de place pour circuler.
 
L’arrivée des véhicules autonomes avait pourtant suscité de nombreuses inquiétudes. On craignait que les véhicules ne roulent à vide et que la quantité de trafic augmente puisque l’utilisation d’un véhicule deviendrait beaucoup plus aisée. Mais les conditions cadres judicieuses établies il y a quelques décennies ont permis d’éviter ce scénario et la rue s’est à nouveau transformée en espace de vie pour les enfants, adolescents et seniors.